Harry en 2016

.

.

HARRY !

.

.

Bonjour à toutes et tous ! bon weekend ...

la méteo continue ses variations, orages , soleil, beau temps, legerement nuageux et avec 28/30°...

Je remercie tous ceux qui se sont inquiétés de ma situation par rapport aux inondations dans mon village de Roquebrune sur Argens, j'habite sur un plateau, l'Argens passe à 5kms, pas de soucis de ce côté là,  notre village souvent inondé avec les orages de Juin, n’a pas encore été mis en danger cette année.

Aujourd'hui je vais vous parler d'un sujet beaucoup moins sérieux, mais qui me tient à coeur, mon chat Harry (notre chat, que Jeanine affectionnait particuliérement) . Il se comporte comme un frère avec Cannelle, et elle l'adore, discrets dans leurs demonstrations, les deux aiment jouer ensemble, ou dormir côte à côte, sans se faire le moindre mal !

Arrivé par hasard dans notre jardin (en Juin 2012, il a donc 4 ans), une main anonyme l'ayant dépose par dessus la cloture, avec une  queue très abimée, sans doute par un chien moins gentil que Cannelle , cette queue s'est transformée en un tire bouchon harmonieux , du plus bel effet…(enfin c'est ce que nous pensons) !! et qui ne le gêne en rien pour son équilibre !

Des le début nous l'avons laissé très libre, il parcourt le quartier en toute indépendance, stérilisé pour éviter les problèmes, l'été, il est dehors jour et nuit, en toute indépendance, l'hiver il rentre le soir au chaud, et sort de bon matin, plusieurs visites dans la journée pour se nourrir ! et il ressort meme s'il pleut ! il a une cachette bien à l'abri sur la terrasse, d'ou il observe les alentours ! 

Harry grand amateur d'oiseaux et de lezards, nous ne l'avons jamais vu avec une souris ? mais il  est capable de dormir sur une chaise devant la cage des canaris, sans rien tenter ...

il est d'humeur très affirmée,  s'il n'est pas content il gronde et lève la patte, mais aussitot après il vient se frotter contre vos jambes en ronronnant !

un bon chat notre Harry !

bon dimanche, heureuse semaine à venir, 

Amitiés et  grosses bises

.

.

.

.